Racisme algorithmique

l’ intelligence artificielle et la (in)visibilisation des peuples indigène

Résumé

Le présent article récapitule la littérature sur les perspectives fondamentale et post-moderne de l’homme/ humanité, dans le but de tracer le parcours (meta)narratif du racisme. Malgré que l’on parle déjas de post-humanité ou de post-humanisme, en fonction de la personnalisation des agences et des agents robotique-algorithmique, c’est à dire, de l’Intelligence Artificielle, on persiste toujours sur les deux perspectives antérieures, parce que, nous defendons d’avantage l’intelligence humaine que n’importe qu’elles autres intelligences génératives ou non. L’actualisation du texte se manifeste plus quand j’utilise les concepts des deux perspectives, tout en se focalisant plus sur la (nouvelle) conception de racisme algorithmique, un terme qui a surgi à partir de l’évolution digitale et des systèmes de l’Intelligence Artificielle. Ainsi, cet article a comme objectif de combiner théorie et pratique dans l’analyse des images qui révélent une perspective basée sur le racisme contre les peuples indigènes. Pour la gestion de ces donnés, une analyse qualitative e interprétative a été d’abord solicitée pour créer des images relatives à la réalité des indigènes à partir de différentes productions réalisées par les IA : ChatGPT, Freepik, Leonardo IA, Playground IA. A cet effet, l’analyse sera basée sur trois catégories du racisme algorithmique, à savoir : la représentation des stéréotypes, l’objectification et la sensualisation (objet de plaisir, de désir et de sexe) ; la marginalisation géographique et des droits. Les résultats ont sans aucun doute mis en évidance (1) la complexe et truquée interaction sociocommunicative entre des hommes « communs », en d’autres termes, des profanes dans le langage soutenu computationnel, et de tels mécanismes techno-discursifs; (2) l’augmentation du racisme, et au-delà de tout, une vision eurocentrique de l’homme.